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 summertime sadness (aédhan)

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MessageSujet: summertime sadness (aédhan)   summertime sadness (aédhan) Icon_minitimeLun 9 Sep - 20:38

AEDHAN CIRCEI ROSIER



PASSEPORT DU SORCIER


◗ nom : Aédhan est l'aînée de la seconde branche de la famille Rosier. Un patronyme montrant clairement leurs origines françaises. Une sorte de mauvaise blague demeure depuis quelques temps sur les Rosier et le fait que la plupart des descendants soient roux en faisant allusion à la famille Weasley. Une véritable honte pour tous les Rosier qui se donnent à coeur joie pour se défendre et parfois se venger de certaines personnes osant les comparer à ces traîtres de Wealey. ◗ prénom(s) :  Pour être original, il est vrai que son premier prénom l'est. La jeune femme porte en effet le doux prénom Aédhan. Un prénom sans doute inventé par ses parents puisqu'elle n'y voit aucune signification et qu'elle doit être la seule au monde à le porter. Son second prénom, Circei, lui vient directement de sa grand-mère maternelle. Une sorte d'hommage dont la jeune femme se serait bien passée quand elle regarde l'ensemble de ses deux prénoms. ◗ surnom(s) : Certains ont déjà essayé de lui trouver des surnoms. Le plus souvent appelée Aé', elle préfère toutefois qu'on l'appelle par son prénom entier. Autant l'utiliser, aussi original qu'il soit, après tout. ◗ âge du personnage : Née un certain dix novembre, la jeune femme a vu le jour un jour assez froid et pluvieux d'automne il y a de cela quelques années. Dix-neuf ans pour être plus précis. Elle est donc majeure depuis quelques années et évolue dans ce monde en proie à la guerre et à la violence sans pour autant agir contre cela. ◗ nature du sang : Issue d'une famille attachée au valeur de la pureté du sang ainsi qu'aux idéaux de Lord Voldemort, il était évident qu'en tant que descendante de la famille Rosier, son sang est pur et le contraire serait totalement improbable. ◗ affiliation : Non pas par choix mais par obligation, Aédhan s'est vu obligée de rejoindre les rangs des mangemorts alors qu'elle ne sait pas vraiment où elle en est aujourd'hui. Elle est en effet partagée entre ce qu'elle peut penser et sa famille. ◗ travail/occupation : Sortie de Poudlard avec d'excellentes notes et les félicitations des professeurs, elle mit du temps à décider de son futur métier puisque sa famille ne souhaitait pas qu'elle travaille à Ste Mangouste et plutôt au Ministère de la Magie. Elle est pourtant bien devenue guérisseusse après de longues négociations avec son père. Appartenant officieusement aux mangemorts, elle ne préfère pas ébruiter le fait qu'elle soigne des sangs mêlés et nés moldus quand elle le doit, de peur de quitter son travail par ordre de son père. A ses yeux, dans le cadre de son métier, il n'y a aucune différence entre le sang de l'un et d'un autre. C'est sans doute un des détails qui la font hésiter à poursuivre sa participation au sein des mangemorts. ◗ épouvantard : Elle aurait pu voir sa famille morte, reposant sur le sol après avoir été entièrement tuée par des inconnus masqués. Elle aurait pu voir sa propre mort ou voir le monde à feu et à sang. Elle aurait pu avoir pour épouvantard bien des choses. Pourtant, c'est bien des araignées qu'elle voit lorsqu'un épouvantard est dans le coin. Une peur viscérale chez elle. Une peur qui est plus forte que la raison. ◗ patronus : Il prend la forme d'un oiseau et plus particulièrement celle  d'un colibri. Une forme d'animal correspondant un peu à Aédhan et son désir de s'évader. ◗pêle mêle d'informations complémentaire: Aédhan n'a jamais été vraiment loin avec un garçon. N'ayant jamais vraiment confiance et n'étant jamais bien amoureuse + On a longtemps considéré Aédhan comme quelqu'un frisant le génie.




INTERVIEW POUR LA GAZETTE




Bonjour, je suis journaliste pour la gazette du sorcier, et je vais vous poser une série de question. Vous allez devoir être honnête car il va falloir y répondre comme si vous étiez sous l’emprise de veritaserum, alors s’il vous plait, jouez le jeu et c’est parti pour cette interview !
◗ Vous ne vivez pas dans un trou perdu à ce que je sache alors laissez moi vous poser cette question qui me brûle les lèvres : que pensez vous de cette guerre ? Car oui, vous ne l’ignorez sans doute pas, nous sommes en guerre, on dit que les différents camps diffèrent sur leur position quant à la nature du sang. Donnez-nous donc votre avis sur cette guerre, et  sur la façon dont elle vous touche (ou pas d’ailleurs) ? Cette guerre est une énorme erreur, fruit d'une mégalomanie très prononcée chez Lord Voldemort qui devait avoir très peu confiance en lui pour décider qu'il était supérieur aux autres. D'autant plus que d'après les informations, il serait lui-même sang mêlé. C'est ce que je pense et ce que ma raison me dicte et ce n'est pas pour autant que j'ai refusé de rejoindre les mangemorts .. Je ne dis jamais ce que je pense à voix haute mais ce n'est pas pour autant que je ne condamne pas cette guerre. J'ai rejoint les mangemorts par dépit et non par envie.

◗ Intéressant, intéressant, je note. Votre camp, comment l’avez-vous choisi ? Par conviction, par pression, ou bien c’est parce que vous n’en avez strictement rien à faire des autres ? Par pression. J'ai choisi mon camp par dépit et à cause de la pression de ma famille. Les Rosier sont tous réputés pour accorder de l'importance à la pureté du sang et aux idéaux de Voldemort donc il était évident que j'en fasse de même si je ne voulais pas être reniée et tout perdre. Evidemment, je ne tolère pas tout ce que font subir les mangemorts aux autres, ni leurs projets et leur haine envers les sangs mêlés, nés moldus et moldus. C'est néanmoins quelque chose que je garde pour moi, et moi seule.

◗ Ainsi, j’y vois maintenant plus clair, et je commence enfin à vous cerner. Ça a beau être la guerre, et quel que soit le camp dans lequel on se trouve on rêve tous d’un monde meilleur. Si vous devriez vivre d’espoir, comment aimeriez vous que soit votre vie dans dix ans ? Je n'en ai absolument aucune idée. Beaucoup de choses peuvent changer et évoluer en dix ans. Je pourrais aussi bien mourir qu'être mariée à un autre sang-pur et avoir une ribambelle d'enfants. C'est quelque chose sur lequel nous n'avons aucun contrôle et c'est vrai que l'avenir me fait peur. Tout ce que je me permets d'espérer, c'est que cette guerre soit terminée et que les gens cessent de mourir de cette façon.



MOLDU Y ES-TU ?


◗ pseudo / prénom : WAYLAND aka Clara.◗ âge : 18 balais de quidditch summertime sadness (aédhan) 2233896840 ◗ avatar : Ben Barnes summertime sadness (aédhan) 3830368042 note/commentaire summertime sadness (aédhan) 2741036072 


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Dernière édition par Aédhan Rosier le Ven 13 Sep - 13:38, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: summertime sadness (aédhan)   summertime sadness (aédhan) Icon_minitimeLun 9 Sep - 20:39

SEVEN DEVILS ALL AROUND YOU


onze ans, manoir des rosier
La neige tombait à dru sur la propriété de Amadeus et Clarissa Rosier. Blanchissant les quelques hectares qu'ils possédaient sans répit. Tu avais toujours apprécié l'hiver et la neige jusqu'à présent, et tes premières vacances de noël à la maison gâchaient tout ton plaisir. Accueillie par la gouvernante, seule personne qui tenait un minimum à toi dans cette famille, u avais été directement conduite de la gare au bureau de ton père où se trouvait aussi ta mère. Fait extrêmement rare puisque ton père n'acceptait jamais qu'une femme et encore moins la sienne prenne place dans son espace à lui. Tu n'étais pas dupe et avait bien remarqué l'inquiétude et la peur sur les traits de ta gouvernante. L’accueil avait été froid, bien plus froid que si tu n'avais été admise dans la maison de Salazar Serpentard au lieu de celle de Rowena Serdaigle. Inquiète à ton tour, tu avais perçu le bruit des portes qui se ferment derrière toi comme si c'était la dernière chose que tu entendrais de ta vie. N'osant pas regarder tes parents, tu frissonnas légèrement quand tu entendis la voix de ton père s'élever. « Ainsi tu as rejoints les rangs de Serdaigle au lieu de ceux de Serpentard. J'espère que tu sais à quel point tu nous as déçu ta mère et moi. » Les yeux toujours rivés au sol, tu n'osais toujours pas les regarder et savais pertinemment que tu allais payer pour ta répartition. Muette, tu te sentis totalement vulnérable quand tu sentis ton père s'approcher de toi après avoir renversé sa chaise au sol. « Regarde moi quand je te parle ! » cria-t-il avant de se rapprocher davantage de toi. Presque inconsciente de sa main contre ta joue, tu l'effleuras, étonnée de sentir la douleur. Relevant les yeux, tu réalisas que c'était la première fois que ton père te battait, renonçant à tous ses principes de violence. Peut-être que ta répartition à Serdaigle était l'élément déclencheur de tout cela. Tout ce que tu retenais, c'est que ton père n'était pas si parfait que tu ne l'imaginais. Retenant tes larmes afin de ne pas empirer la situation et de rester forte face à la situation, tu ne pus t'empêcher de remarquer que ta mère était assise dans un coin de la pièce et qu'elle te regardait de façon totalement impassible. Peut-être était-ce la solution pour ne pas souffrir et agir raisonnablement ? Effacer toute trace de sentiments était sans doute la réponse à ce problème. Mais cela n’effaçait en rien ta joie de compter parmi les élèves les plus brillants de Poudlard, ni ton intégration parfaite dans ses rangs alors que tu aurais du tout faire pour ressembler le plus possible à une élève de Serpentard et montrer à quel point le choixpeau avait eu faux. Non .. Tu avais beau être intelligente, tu ne savais pas encore comment réagir à seulement onze ans face à tout cela. Adoptant la meilleure des stratégies, tu te repris et redressas le buste. « Je suis navrée. Cependant je compte tirer un avantage de cette répartition hasardeuse pour devenir l'élève la plus intelligente et méritante de ce collège. Je serais la meilleure en tout. Je deviendrais préfète puis préfète en chef et fera une carrière au Ministère. Je ne vous décevrais plus jamais. » De toute façon, tu ne faisais que répéter ce qu'on t'a toujours dit depuis ta naissance. Tu feras de bonnes études puis entreras au Ministère jusqu'à ce que tes parents te trouvent un mari. La maison que tu devais rejoindre à Poudlard avait été jusqu'à présent le seul inconvénient dans ton parcours. Visiblement satisfait de t'entendre dire ça et d'avoir des excuses de ta part, ton père retourna à son bureau et jeta un regard entendu à ta mère qui quitta immédiatement la pièce. Docile comme il fallait que tu sois quand tu seras mariée. Évitant de ne trop y penser, tu ne te demandais qu'une chose. Comment allait faire ton père pour te punir ? Car de beaux discours, il peut en avoir tant qu'il le veut et c'est facile de mentir, surtout pour quelqu'un d'aussi rusé que toi. La suite fut tout simplement aussi logique qu'horrible. Les sanglots de ta gouvernante et les supplications dont elle gratifiait ton père alors qu'elle venait d'être amenée dans son bureau par ta mère n'arrangeaient rien à son cas. Essayant un maximum de rester stoïque, tu essayais d'éviter de la regarder mais ce n'était pas évident puisqu'elle se trouvait en plein milieu de la pièce. Tu savais ce qui allait se passer, mais le savoir ne t'empêcha pas de souffrir en voyant la scène. Ta gouvernante se tordant à tes pieds en poussant des hurlements terrifiants, puis l'éclair vert illuminant la pièce entière. Les yeux humides, tu réussis  à te contenir jusqu'à ce que ton père te dise de disposer. Montant directement à l'étage, tu éclatas en sanglots avec pour seule pensée que la seule personne qui tenait à toi dans ce monde venait d'être mise à mort par ta faute.

quinze ans, couloir de poudlard
Déambulant dans les couloirs après le couvre-feu afin de faire ta ronde obligatoire de préfète de la maison de Serdaigle, tu ressassais ta journée quand un bruit t'alerta. Sortant aussitôt ta baguette de ta poche, tu murmuras un lumos et la pointa en direction de l'endroit d'où tu pensais que cela provenait. Ébahie de constater qu'il s'agissait de Dorian, tu te rapprochas et rangeas ta baguette après avoir annulé le sort. Les poings sur les hanches, tu comptais bien lui clouer le bec. Et étant préfète, tu pouvais très bien le faire. « Je peux savoir ce que tu fais ici Mulciber ? Le couvre-feu est dépassé là. » lui demandas-tu, furieuse de voir qu'il se permettait de se croire au dessus des règles. « Figure toi que j'espérais tomber sur toi Rosier. Tu me manquais tellement ! » ironisa-t-il en riant. Pas d'humeur à jouer à son jeu stupide et à rire, tu croisas les bras et te plantas devant lui. « Ne t'inquiète pas, ça ne va pas durer. Tu as une retenue samedi et j'enlève 15 points à la maison Serpentard. » Visiblement stupéfait que tu oses agir ainsi, Dorian hésita quelques secondes avant de réagir. « Tu te moques de moi là, Rosier ? » Haussant les sourcils, tu secouas légèrement la tête de droite à gauche pour lui montrer que tu ne comptais pas revenir sur ta décision. Et le voir impuissant devant toi te remplissait de joie. Lui qui aimait tant rabaisser les autres et se croire supérieur à eux, cela devait le rendre furieux. Lui faisant signe de partir et de regagner son dortoir, tu commençais à t'éloigner quand tu sentis un bras te retenir et Dorian te plaquer contre un mur du couloir. Le souffle coupé, tu le regardas d'une façon féroce et essayas de te dégager, en vain. « Si tu ne veux pas écoper d'une retenue plus importante et être responsable d'une perte colossale de points, je te conseille de me lâcher. » déclaras-tu tout en essayant de conserver un calme olympien. Voyant pour la première fois Dorian furieux de si près et surtout contre toi, tu attendais patiemment qu'il te relâche. Sentant une diminution de son emprise, tu soupiras. « Bien, tu reviens enfin à la rai.. » commenças-tu avant de sentir ses lèvres écraser les tiennes avec ferveur et désir. Les yeux mi-clos, tu ne bougeas pas et restas paralysée tant la situation paraissait inimaginable. Vous vous détestiez et vous vous le faisiez comprendre très bien jusqu'à présent. Quand tu le sentis se reculer, tu rouvris les yeux et l'interrogeas du regard, ne comprenant pas son geste. Lui non plus ne savait pas ce qui l'avait pris puisqu'il se sauva presque aussitôt. Restant immobile, tu demeurais surprise de son geste mais plus que cela, tu ressentais ce que tu n'avais jamais ressentis jusqu'à présent, et encore moins pour lui. Tu le désirais et ne demandais qu'à être en sa présence. Perturbée par tes émotions et par ce qu'il venait de se passer, tu retournas à la hâte dans ton dortoir et t'enfouis sous ta pile de couverture en priant pour tout oublier. Une chose impossible cependant.

dix-sept ans, manoir des rosier
Tu avais enfin réussi à passer haut la main tes derniers examens et étais sortie avec d'excellentes notes et les félicitations des professeurs. Tu avais été préfète puis préfète en chef. Tu allais entrer dans la vie active mais cela ne suffisait toujours pas. « Tu as fais des études passables, certes. Mais devenir guérisseuse et pourrir à Sainte-Mangouste ? Il en est hors de question Aédhan. On cherche de nouvelles têtes pour le département de la coopération internationale et tu vas y postuler. » déclara ton père, certain que tu finirais par obéir. Il avait raison mais cette fois, il dépassait les bornes. Choisir lui même ton futur métier était quelque chose que tu n'arrivais pas à tolérer. « Mais enfin père, être guérisseuse relève de l'excellence et cela me permettrait d'aider les autres. Enfin ceux de sang pur naturellement. Ce serait bien d'avoir quelqu'un qui sache guérir en cas de guerre ! » argumentas-tu, bien décidée à ne pas te laisser faire et à passer ta vie à faire un métier que tu détestes alors que tu vas sans doute bientôt devoir épouser quelqu'un par obligation. « De toute façon, je ne vois pas pourquoi tu protestes. Quand on te trouvera un bon parti, tu l'épouseras et quitteras ton métier pour être femme au foyer. » Evidemment. Tu aurais peut-être du y penser directement. Ayant cependant une idée pour gagner face à ton père, tu adoptas une attitude bien moins agressive que maintenant. « Justement. Je peux au moins choisir de devenir guérisseuse jusqu'à un mariage puisque je ne travaillerais plus après. » Forte de ta logique et de ton intelligence, tu savais que tu venais de marquer un point et cela te ravissait. Mais la perspective d'un mariage et de la probabilité d'être femme au foyer assombrirent immédiatement ton humeur. Forte de cet argument, tu constatas avec plaisir que ton père acceptait. Une première puisqu'il avait toujours eu le dernier mot sur chaque aspect de ta vie jusqu'à présent.


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